Le parquet
Ayant gagné en notoriété au cours des dernières années, le parquet flottant talonne le parquet massif de près. Pour comprendre cette tendance, il faut comparer leurs caractéristiques.
Pour quelles raisons le parquet massif reste apprécié ?
Le parquet traditionnel ou massif est constitué uniquement de bois. Il s’agit d’un revêtement de sol d’intérieur utilisé depuis plusieurs décennies. Cette intemporalité est notamment due aux propriétés des essences employées, conférant au matériau une grande durabilité. Qui plus est, il est parfaitement envisageable de donner une seconde jeunesse à celui-ci par le biais d’un ponçage. Ce sera l’occasion de corriger les imperfections et de nourrir le bois avec de l’huile adaptée.
Quant à sa présentation, le parquet massif consiste en un ensemble de lames posées les unes contre les autres. En plus de l’essence choisie, l’épaisseur constitue un facteur déterminant pour le prix de ces dernières.
Concernant la pose, il est possible de les coller sur la surface à recouvrir ou les clouer. Néanmoins, la pratique exige qu’elle soit réalisée dans les normes. En réalité, ce sont des documents techniques unifiés contenant les consignes d’installation. Celles-ci varient en fonction de l’emplacement et du type de parquet.
Comment distinguer le parquet flottant du parquet massif ?
Faisant son apparition en 1980, le parquet flottant a révolutionné le marché des revêtements de sol. Contrairement au parquet massif qui vient se poser sur une surface donnée, ce modèle est basé sur l’emboitement des lames. Cela écarte toute utilisation de colle ou clous et facilite ainsi la pose. Néanmoins, il convient de prévoir des couches supplémentaires afin d’assurer l’isolation, notamment contre l’humidité ou le bruit.
En outre, la matière première pour sa fabrication reste essentiellement le bois. D’ailleurs, pour optimiser l’esthétique du matériau, la couche d’usure est aussi en bois pur. La différence se situera dans son épaisseur (à partir de 2,5 millimètres).